Voici ce qui s'est passé en coulisses : Elon Musk aurait utilisé le nom de Trump pour bloquer l'accord OpenAI $Stargate UAE, avertissant les dirigeants de G42 que le POTUS ne donnerait pas son feu vert à moins que xAI n'ait une place à la table. Un coup classique.
Mais cela n'a pas fonctionné. L'équipe de Trump l'a approuvé de toute façon le 22 mai.
La vraie histoire : Qui gagne la course à l'IA ?
Ce qui s'est passé : OpenAI, soutenu par des partenariats avec Nvidia, Oracle et SoftBank, construit un centre de données AI de 200 mégawatts à Abu Dhabi ( s'étendant à 1 gigawatt plus tard ). C'est énorme — potentiellement le plus grand hub AI à l'étranger au monde.
Le hic : L'administration Trump a également levé les restrictions à l'exportation de l'ère Biden, permettant maintenant aux Émirats arabes unis d'importer jusqu'à 500 000 puces AI par an. En échange, ils injectent 1,4 trillion de dollars dans les infrastructures américaines et $2 milliards dans des projets crypto liés à Trump.
Pourquoi Musk était furieux : Sam Altman dirige ce qui pourrait être le plus grand projet d'infrastructure IA au monde, tandis que xAI est mis de côté. Pour quelqu'un qui a cofondé OpenAI en 2015 avant d'être écarté, voir Altman contrôler ce genre de capital et d'influence devait être douloureux.
La vue d'ensemble
Ce n'est pas seulement une question d'ego ( bien que cela en fasse partie ). Il s'agit de qui contrôle l'infrastructure de l'IA et quelles entreprises d'IA bénéficient d'un traitement préférentiel dans le jeu d'échecs géopolitique.
L'ironie : xAI pourrait encore en bénéficier — le fonds MGX de G42 a soutenu le tour de financement $6B de xAI, et xAI est maintenant sur la liste restreinte pour accéder à ces nouvelles puces autorisées. Donc, le long jeu de Musk pourrait ne pas être terminé.
Leçon à retenir : Lorsque Trump lève les restrictions sur les exportations de puces et ouvre des contrats d'infrastructure de mille milliards de dollars au Golfe, ce n'est pas seulement une question d'affaires — c'est une déclaration sur qui a l'oreille de Washington. En ce moment, c'est Altman et OpenAI. Musk a essayé de s'imposer et a perdu ce tour.
La question est : va-t-il laisser tomber, ou s'agit-il simplement de l'acte un d'une rivalité plus longue ?
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Le jeu de puces AI vient de devenir politique : pourquoi le coup de force de Musk à Abu Dhabi a échoué
Voici ce qui s'est passé en coulisses : Elon Musk aurait utilisé le nom de Trump pour bloquer l'accord OpenAI $Stargate UAE, avertissant les dirigeants de G42 que le POTUS ne donnerait pas son feu vert à moins que xAI n'ait une place à la table. Un coup classique.
Mais cela n'a pas fonctionné. L'équipe de Trump l'a approuvé de toute façon le 22 mai.
La vraie histoire : Qui gagne la course à l'IA ?
Ce qui s'est passé : OpenAI, soutenu par des partenariats avec Nvidia, Oracle et SoftBank, construit un centre de données AI de 200 mégawatts à Abu Dhabi ( s'étendant à 1 gigawatt plus tard ). C'est énorme — potentiellement le plus grand hub AI à l'étranger au monde.
Le hic : L'administration Trump a également levé les restrictions à l'exportation de l'ère Biden, permettant maintenant aux Émirats arabes unis d'importer jusqu'à 500 000 puces AI par an. En échange, ils injectent 1,4 trillion de dollars dans les infrastructures américaines et $2 milliards dans des projets crypto liés à Trump.
Pourquoi Musk était furieux : Sam Altman dirige ce qui pourrait être le plus grand projet d'infrastructure IA au monde, tandis que xAI est mis de côté. Pour quelqu'un qui a cofondé OpenAI en 2015 avant d'être écarté, voir Altman contrôler ce genre de capital et d'influence devait être douloureux.
La vue d'ensemble
Ce n'est pas seulement une question d'ego ( bien que cela en fasse partie ). Il s'agit de qui contrôle l'infrastructure de l'IA et quelles entreprises d'IA bénéficient d'un traitement préférentiel dans le jeu d'échecs géopolitique.
L'ironie : xAI pourrait encore en bénéficier — le fonds MGX de G42 a soutenu le tour de financement $6B de xAI, et xAI est maintenant sur la liste restreinte pour accéder à ces nouvelles puces autorisées. Donc, le long jeu de Musk pourrait ne pas être terminé.
Leçon à retenir : Lorsque Trump lève les restrictions sur les exportations de puces et ouvre des contrats d'infrastructure de mille milliards de dollars au Golfe, ce n'est pas seulement une question d'affaires — c'est une déclaration sur qui a l'oreille de Washington. En ce moment, c'est Altman et OpenAI. Musk a essayé de s'imposer et a perdu ce tour.
La question est : va-t-il laisser tomber, ou s'agit-il simplement de l'acte un d'une rivalité plus longue ?