Hier, lors de ce « Black Tuesday », la chute la plus importante du mois pour le S&P et le Nasdaq s’est produite, Bitcoin n’a pas résisté non plus, passant sous la barre des 100 000 dollars. En apparence, cela paraît paniquant, mais réfléchissez—cette opération ressemble-t-elle à un marché qui « donne un coup de couteau » aux décideurs politiques ?

En repensant à la tourmente du 7 avril de cette année, le krach boursier américain a directement permis à certaines positions fermes de se relâcher, laissant soudain plus d’espace pour des « concessions stratégiques » sur la table des négociations tarifaires. Maintenant, ce scénario, c’est du déjà-vu.

Wall Street n’a pas simplement vendu par émotion cette fois. Derrière le vote à coup de pieds, il y a une double anxiété face à la vacance fiscale et à l’impasse politique. Une fois que les comptes de retraite commencent à se réduire, et que les sondages deviennent mauvais, il y a de fortes chances que les décideurs adoptent un mode pragmatique du type « stabiliser d’abord le marché, puis discuter des autres points ».

Ce qui est intéressant, c’est que certains modérés commencent à explorer une voie de compromis : « revenir à la normale d’abord, puis discuter des détails du budget ». La tactique de pression du marché est assez sophistiquée, il ne reste plus qu’à voir comment la politique va réagir. Bitcoin, Éther, ces principales cryptomonnaies, suivent une tendance de rebond à court terme, mais si le côté politique lâche vraiment du lest, le rebond pourrait être plus rapide qu’on ne le pense.