Analysons les chiffres de ce mécanisme de rachat. Si un projet génère environ $10 millions de revenus quotidiens et canalise 97 % de cela dans des rachats de jetons, vous regardez environ 9,7 millions de dollars de pression d'achat quotidienne. Ça semble significatif, n'est-ce pas ?

Pas tout à fait. Lorsque vous comparez cela à un volume de trading sur 24 heures de $900 millions ( selon les données récentes de CMC), cela représente à peine 1 % de l'activité totale du marché. C'est statistiquement négligeable en termes d'impact réel sur le prix.

Le problème fondamental ici est le décalage d'échelle. Un programme de rachat nécessite un poids relatif substantiel pour influencer les mouvements de prix. Lorsque votre pression d'achat n'est qu'une fraction du volume de trading organique, l'effet se dilue dans le bruit du marché. Les mathématiques ne soutiennent tout simplement pas le battage médiatique autour de ce mécanisme particulier.