Exactement. Lorsqu’un gouvernement commence à distribuer de l’argent inconditionnel, il crée essentiellement un aimant économique. Pensez-y : environ 90 % de la population mondiale vit avec moins que ce que ces programmes offrent. La structure incitative devient alors très claire : migrer pour accéder aux bénéfices. Mais voici le problème : aucun système fiscal ne peut supporter ce genre de pression démographique. On assisterait à un afflux exponentiel qui submergerait les recettes fiscales, les infrastructures et les services sociaux. Ce n’est pas viable. Tout le modèle s’effondrerait sous le poids de sa propre générosité. Un cas classique où de bonnes intentions rencontrent une dure réalité économique.