La vision fondatrice du Web était radicale : un accès ouvert pour tous, sans gardiens. Tim Berners-Lee l'a construit de cette façon. Avançons jusqu'à aujourd'hui, et nous avons des plateformes corporatives qui dictent les règles. Nick Clegg de Meta a récemment publié son point de vue sur l'évolution de l'internet, mais voici ce que lui et les nouveaux écrits de Berners-Lee semblent contourner : les motivations de profit ont tout remodelé.

Lorsque les modèles commerciaux axés sur la publicité ont pris le dessus, le rêve original a été enfoui sous les métriques d'engagement et la collecte de données. Ces nouveaux livres parlent de la trajectoire de l'internet, mais ils évitent de mentionner comment les incitations commerciales ont fondamentalement brisé la promesse d'un web véritablement décentralisé. L'ironie ? Un gars l'a conçu pour être libre et ouvert, tandis que l'employeur de l'autre l'a transformé en un empire de jardin clos. Peut-être que c'est la véritable histoire que aucun des deux livres ne veut raconter pleinement.