La crise de la paralysie est-elle levée ? Il s'agit d'une « réparation temporaire » de la politique américaine
On entend dire que la crise de la paralysie touche à sa fin, et les titres des médias américains commencent à chanter les louanges : « Le Congrès est parvenu à un consensus, les États-Unis évitent la fermeture. » Mais en y regardant de plus près, ce « consensus » ressemble à une colle temporaire pour chaussures — on peut marcher quelques pas, sans en être sûr. La nature du problème fiscal n’a pas changé : dette élevée, dépenses incontrôlées, luttes partisanes incessantes. Washington a cette fois choisi de « stopper le saignement d’abord, faire un bilan ensuite », stabilisant la situation à court terme, mais avec des risques plus grands à long terme. Les marchés d’investissement se réjouissent momentanément, le dollar s’affaiblit, les actions américaines montent, et le marché des cryptomonnaies profite aussi de cette agitation. Mais l’argent intelligent commence déjà à faire de la couverture, car ce n’est pas une véritable reprise, mais une simple procrastination. Le « scénario » de la politique américaine est clair — chaque crise peut être résolue, mais au prix d’une confiance encore plus fragilisée. Les États-Unis n’ont pas fermé leurs portes, mais les leviers financiers sont déjà hors de contrôle. La crise n’est pas vraiment terminée, elle est entrée dans une « phase chronique ».
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La crise de la paralysie est-elle levée ? Il s'agit d'une « réparation temporaire » de la politique américaine
On entend dire que la crise de la paralysie touche à sa fin, et les titres des médias américains commencent à chanter les louanges : « Le Congrès est parvenu à un consensus, les États-Unis évitent la fermeture. »
Mais en y regardant de plus près, ce « consensus » ressemble à une colle temporaire pour chaussures — on peut marcher quelques pas, sans en être sûr.
La nature du problème fiscal n’a pas changé : dette élevée, dépenses incontrôlées, luttes partisanes incessantes. Washington a cette fois choisi de « stopper le saignement d’abord, faire un bilan ensuite », stabilisant la situation à court terme, mais avec des risques plus grands à long terme.
Les marchés d’investissement se réjouissent momentanément, le dollar s’affaiblit, les actions américaines montent, et le marché des cryptomonnaies profite aussi de cette agitation. Mais l’argent intelligent commence déjà à faire de la couverture, car ce n’est pas une véritable reprise, mais une simple procrastination.
Le « scénario » de la politique américaine est clair — chaque crise peut être résolue, mais au prix d’une confiance encore plus fragilisée.
Les États-Unis n’ont pas fermé leurs portes, mais les leviers financiers sont déjà hors de contrôle. La crise n’est pas vraiment terminée, elle est entrée dans une « phase chronique ».