La blockchain excelle dans une chose — la tenue de registres ; mais la chose qu'elle a le plus de mal à faire — comprendre le monde hors chaîne. APRO a été créé pour combler cette lacune.
Sa logique n'est en réalité pas compliquée : il ne s'agit pas de fournir directement les données brutes à la chaîne, mais de créer d'abord une « barrière intelligente ». Collecter ces informations désordonnées hors chaîne, les vérifier une par une à l'aide de l'IA et d'autres outils, puis générer une conclusion concise et vérifiable qui est renvoyée à la blockchain. Ainsi, les contrats intelligents osent passer commande, car les données sous-jacentes ont été contrôlées.
L'architecture se divise en deux couches — hors chaîne pour le travail lourd, avec un groupe de nœuds qui effectuent la validation et le traitement ; sur la chaîne, on place un résultat final léger. Cette conception garantit à la fois la sécurité du système et évite d'être ralenti par des calculs redondants. En d'autres termes, APRO a transformé l'oracle d'un simple « transporteur de données » en un « avocat des données ».
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Frontrunner
· Il y a 19h
L'analogie du avocat des données est géniale, enfin quelqu'un a expliqué en détail cette histoire de oracles.
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SchrodingerWallet
· Il y a 21h
Le concept d'avocat en données est plutôt intéressant, mais en fin de compte, il s'agit toujours de parier que le nœud ne fera pas de mal...
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CrossChainBreather
· Il y a 21h
Ah, enfin quelqu'un a pensé à ce problème, la question des oracles est effectivement un point sensible.
Cette métaphore de l'avocat des données est excellente, mais en y regardant de plus près, qui va superviser ces nœuds de validation ?
Cette architecture semble intéressante, mais le vrai enjeu est de savoir si elle fonctionnera réellement ou si elle deviendra un autre boîtier noir.
On parle tous de décentralisation, mais au final, ce sont encore une multitude de tiers qui viennent nettoyer derrière la chaîne.
Je parie que, au final, cette chose sera contrôlée par de grands nœuds.
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LayerHopper
· Il y a 21h
En résumé, cela consiste à faire du oracle quelque chose de réellement intelligent, qui n'est plus simplement un tapis roulant. Enfin, quelqu'un a compris.
La blockchain excelle dans une chose — la tenue de registres ; mais la chose qu'elle a le plus de mal à faire — comprendre le monde hors chaîne. APRO a été créé pour combler cette lacune.
Sa logique n'est en réalité pas compliquée : il ne s'agit pas de fournir directement les données brutes à la chaîne, mais de créer d'abord une « barrière intelligente ». Collecter ces informations désordonnées hors chaîne, les vérifier une par une à l'aide de l'IA et d'autres outils, puis générer une conclusion concise et vérifiable qui est renvoyée à la blockchain. Ainsi, les contrats intelligents osent passer commande, car les données sous-jacentes ont été contrôlées.
L'architecture se divise en deux couches — hors chaîne pour le travail lourd, avec un groupe de nœuds qui effectuent la validation et le traitement ; sur la chaîne, on place un résultat final léger. Cette conception garantit à la fois la sécurité du système et évite d'être ralenti par des calculs redondants. En d'autres termes, APRO a transformé l'oracle d'un simple « transporteur de données » en un « avocat des données ».