Une célèbre personnalité a récemment annoncé que le produit Gold Card a connu des résultats de vente impressionnants, affirmant que le chiffre d'affaires cumulé atteignait 1,3 milliard de dollars. Cependant, dès la publication de ces chiffres, la plateforme de prédiction Polymarket a exprimé de vives doutes. La divergence entre les deux parties concernant la méthodologie de collecte des données a directement alimenté les discussions sur la véritable popularité de ce programme d'immigration par investissement.
S'agit-il d'une exagération intentionnelle de la part des promoteurs, ou existe-t-il simplement une différence dans les dimensions statistiques des deux côtés ? Cette question est devenue le point central des débats communautaires. Certains pensent que le chiffre d'affaires inclut des zones grises telles que les préventes ou les annulations de commandes, et que le volume réel de transactions pourrait ne pas être aussi élevé que la promotion le laisse entendre ; d'autres estiment que les doutes de Polymarket manquent de preuves solides pour les soutenir. Cette bataille de données reflète également, de manière indirecte, une approche rationnelle du marché quant à la véritable popularité de l'investissement.
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Une célèbre personnalité a récemment annoncé que le produit Gold Card a connu des résultats de vente impressionnants, affirmant que le chiffre d'affaires cumulé atteignait 1,3 milliard de dollars. Cependant, dès la publication de ces chiffres, la plateforme de prédiction Polymarket a exprimé de vives doutes. La divergence entre les deux parties concernant la méthodologie de collecte des données a directement alimenté les discussions sur la véritable popularité de ce programme d'immigration par investissement.
S'agit-il d'une exagération intentionnelle de la part des promoteurs, ou existe-t-il simplement une différence dans les dimensions statistiques des deux côtés ? Cette question est devenue le point central des débats communautaires. Certains pensent que le chiffre d'affaires inclut des zones grises telles que les préventes ou les annulations de commandes, et que le volume réel de transactions pourrait ne pas être aussi élevé que la promotion le laisse entendre ; d'autres estiment que les doutes de Polymarket manquent de preuves solides pour les soutenir. Cette bataille de données reflète également, de manière indirecte, une approche rationnelle du marché quant à la véritable popularité de l'investissement.