Le Bitcoin oscille autour de 63 000 USD, avec moins de deux semaines de sessions de trading restantes en 2025 — cette fenêtre temporelle révèle peu à peu la véritable nature du marché.

Sous un cycle apparemment calme, une compétition féroce entre cryptomonnaies se déroule. NIGHT a enregistré une hausse de plus de 60 % en une semaine, tandis que PUMP a chuté de 35 %, et BCH a même été propulsé de 8 % en une journée suite à une rumeur. Derrière ces fluctuations extrêmes se cachent des problèmes profonds : la plupart des histoires de hausses spectaculaires s’accompagnent en réalité d’un risque de perte totale plus important.

Dans un tel environnement de marché, les investisseurs particuliers cherchent à s’enrichir rapidement, mais les fonds réellement expérimentés font autre chose — ils cherchent le point d’ancrage le plus stable dans la volatilité.

Lorsque qu’un seul actif peut doubler ou perdre la moitié de sa valeur en une journée, ou lorsqu’un seul message peut inverser la tendance, ce marché a déjà perdu ses bases de fixation des prix normales. Dans cette incertitude, le rôle des stablecoins décentralisés devient crucial. Ces produits utilisent généralement un mode de sur-collatéralisation, soutenus par des actifs tangibles comme BTC, ETH, avec un taux de collatéralisation en temps réel supérieur à la ligne de sécurité (par exemple, plus de 130 %).

Que signifie cela ? Même en cas de marché extrême, les utilisateurs peuvent garantir un rachat à 1:1 de leur valeur, sans qu’aucune institution unique ne puisse geler ou saisir leurs actifs. Comparé aux risques fréquents liés aux échanges centralisés, cette certitude devient particulièrement précieuse en 2025 — ce n’est pas un simple outil de rendement, mais une véritable couverture contre le risque.