La Guyane passe inaperçue pour la plupart des voyageurs — mais cela est sur le point de changer. L'économie à la croissance la plus rapide de la planète tire parti de ses revenus pétroliers pour construire une infrastructure écotouristique sérieuse. Réfléchissez-y : tourisme durable + pétrodollars créant une véritable diversification économique. C'est en fait un cas d'école de la richesse en ressources finançant des moteurs de croissance alternatifs, plutôt que le cycle typique de boom-bust. L'angle de la forêt amazonienne lui confère également un attrait massif. Ce type de réallocation de capital — de l'extraction à l'économie de l'expérience — reflète ce que nous observons dans les marchés émergents. À suivre de près pour voir comment cela évolue.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
17 J'aime
Récompense
17
6
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
Web3ExplorerLin
· Il y a 40m
hypothèse : la Guyane exécute essentiellement un changement de paradigme économique cross-chain — extrayant d'un grand livre (huile) pour créer une infrastructure entièrement différente sur un autre (écotourisme). c'est plutôt génial pour être honnête, ça me rappelle comment les réseaux oracle bridge des chaînes disparates... sauf qu'il y a de vraies forêts tropicales impliquées lol
Voir l'originalRépondre0
MevHunter
· Il y a 9h
Eh bien, cette opération de la Guyane est vraiment audacieuse, les revenus pétroliers soutiennent l'écotourisme... beaucoup plus intelligent que la plupart des pays riches en ressources.
Voir l'originalRépondre0
rekt_but_vibing
· Il y a 22h
Le pétrodollar joue l'écotourisme, cette stratégie peut-elle tenir... J'ai toujours l'impression qu'au final, on ne peut pas échapper à la malédiction.
Voir l'originalRépondre0
JustAnotherWallet
· Il y a 22h
Guyana, cette partie d'échecs est intéressante, le pétrole se tourne vers le tourisme écologique... Peut-il vraiment éviter la malédiction des ressources, ou s'agit-il encore d'une nouvelle vague de prélèvements?
Voir l'originalRépondre0
PebbleHander
· Il y a 22h
Guyana, cette fois, a vraiment des idées, échanger du pétrole contre un tourisme écologique... Voilà ce qu'on appelle maîtriser les ressources
Voir l'originalRépondre0
GateUser-cff9c776
· Il y a 22h
Encore cette vieille rengaine, dépenser de l'argent pour faire de l'écotourisme, ça ressemble à coller une étiquette ESG à une bulle pour vendre des NFT à prix exorbitants... Mais je dois dire que, d'après la courbe de l'offre et de la demande, cette logique est vraiment solide.
La Guyane passe inaperçue pour la plupart des voyageurs — mais cela est sur le point de changer. L'économie à la croissance la plus rapide de la planète tire parti de ses revenus pétroliers pour construire une infrastructure écotouristique sérieuse. Réfléchissez-y : tourisme durable + pétrodollars créant une véritable diversification économique. C'est en fait un cas d'école de la richesse en ressources finançant des moteurs de croissance alternatifs, plutôt que le cycle typique de boom-bust. L'angle de la forêt amazonienne lui confère également un attrait massif. Ce type de réallocation de capital — de l'extraction à l'économie de l'expérience — reflète ce que nous observons dans les marchés émergents. À suivre de près pour voir comment cela évolue.