⚠️ Une grande plateforme prend position : pas de paiement pour la suppression de la parole
Un grand dirigeant technologique vient de poser une limite claire : la plateforme ne sera pas monétisée par des accords de censure. Ni par des gouvernements poussant des agendas, ni par des ONG ayant leurs propres intérêts, et certainement pas par des organisations "d'évaluation des faits" autoproclamées logées dans des institutions prestigieuses.
La déclaration est audacieuse : la suppression de la parole n'est pas une marchandise à acheter et à vendre. Elle remet en question une réalité inconfortable dans l'espace numérique : la modération de contenu est devenue de plus en plus un service payant où le plus offrant façonne ce qui est censuré.
Cela soulève une question plus grande : D'autres plateformes auront-elles le courage de faire le même engagement ? Ou continueront-elles à fonctionner sous pression, acceptant des financements et des partenariats qui viennent avec des conditions tacites ?
C'est un moment qui mérite d'être regardé. Que cela se traduise réellement par une politique concrète ou reste un théâtre performatif révélera beaucoup sur l'avenir de la gouvernance des plateformes.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
8 J'aime
Récompense
8
1
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
MEVSupportGroup
· Il y a 5h
Enfin, quelqu'un a osé le dire, et les autres plateformes ? Elles se cachent encore ?
⚠️ Une grande plateforme prend position : pas de paiement pour la suppression de la parole
Un grand dirigeant technologique vient de poser une limite claire : la plateforme ne sera pas monétisée par des accords de censure. Ni par des gouvernements poussant des agendas, ni par des ONG ayant leurs propres intérêts, et certainement pas par des organisations "d'évaluation des faits" autoproclamées logées dans des institutions prestigieuses.
La déclaration est audacieuse : la suppression de la parole n'est pas une marchandise à acheter et à vendre. Elle remet en question une réalité inconfortable dans l'espace numérique : la modération de contenu est devenue de plus en plus un service payant où le plus offrant façonne ce qui est censuré.
Cela soulève une question plus grande : D'autres plateformes auront-elles le courage de faire le même engagement ? Ou continueront-elles à fonctionner sous pression, acceptant des financements et des partenariats qui viennent avec des conditions tacites ?
C'est un moment qui mérite d'être regardé. Que cela se traduise réellement par une politique concrète ou reste un théâtre performatif révélera beaucoup sur l'avenir de la gouvernance des plateformes.