La calme avant la tempête se trouve peut-être juste devant nous.

Lorsque la liquidité devient de plus en plus rare et que les investisseurs institutionnels achètent frénétiquement, chaque correction pourrait devenir une excellente occasion d'acheter. Cela vous semble-t-il familier ?

En regardant les débuts du Bitcoin, en 2010, il existait des sites "robinets" qui distribuaient gratuitement des Bitcoins. Aujourd'hui, c'est complètement différent - nous sommes témoins d'une transformation historique, plus de 80 % de l'offre de Bitcoin est déjà en crise de liquidité.

Le dernier rapport de Fidelity Digital Assets qualifie ce phénomène d'"ère de super rareté", alimentée par un "double moteur". Un moteur est le mécanisme de réduction de moitié, qui ramène la production quotidienne de nouvelles pièces de 900 à 450 ; l'autre moteur est la forte rétention des investisseurs à long terme, qui gardent fermement plus de 80 % de l'offre en circulation.

**La vérité numérique de l'épuisement de la liquidité**

Ce n'est pas une simple théorie. Selon les données on-chain jusqu'en septembre 2025, plus de 15,8 millions de bitcoins (représentant 80,5 % de l'offre totale) ont été classés dans la catégorie "non liquide". Ces pièces sont fermement détenues par des investisseurs à long terme et ne circulent pratiquement pas sur le marché.

Comment déterminer si un portefeuille est vraiment celui d'un "croyant" ? C'est très simple : regardez si le nombre de bitcoins vendus dans l'historique est inférieur à 75 % du total des achats. Cette définition simple et directe sélectionne avec précision les véritables défenseurs sur le marché.

Les réserves de Bitcoin des échanges ont atteint leur niveau le plus bas depuis 2019. Une grande quantité de Bitcoin est en train de passer des échanges vers des portefeuilles privés et du stockage à froid, et le volume quotidien des échanges a chuté à environ 40 000 pièces, atteignant un nouveau plus bas en près de dix ans.

Il est intéressant de noter que même lorsque les prix des cryptomonnaies atteignent de nouveaux sommets, les investisseurs ont tendance à privilégier la détention à long terme plutôt qu'à revendre fréquemment. Ce changement d'état d'esprit pourrait expliquer les choses mieux que n'importe quelle donnée.