La crise de la dette américaine, un point d'inflexion de la liquidité est en train de se former.
Récemment, en discutant avec quelques investisseurs institutionnels étrangers, la conversation revient toujours sur la même chose : la dette publique américaine. Une dette de 34 billions de dollars, ce n'est déjà plus une nouvelle, mais la chaîne logique derrière commence à se desserrer.
D'une part, la Réserve fédérale se trouve dans une situation délicate : des hausses de taux ne freinent pas la croissance, tandis que des baisses de taux amplifient le fardeau de la dette. Les promesses de resserrement d'autrefois se transforment progressivement en compromis. D'autre part, l'impulsion d'expansion du ministère des Finances ne montre aucun signe de réduction - qui va payer ? L'attitude des banques centrales mondiales commence à se diversifier.
Le Japon continue d'acheter des obligations américaines en continu, les considérant comme un actif stratégique. Mais ce qui est encore plus remarquable, c'est la réduction de la Chine - atteignant un nouveau plus bas depuis la crise financière de 2008. Pourquoi ? Trois réalités : l'inflation ronge le rendement réel des obligations américaines, le risque de gel des actifs en dollars émerge, et le coût d'opportunité est trop élevé - le même capital placé ailleurs peut offrir de meilleurs rendements ajustés au risque.
Le consensus mondial sur les "actifs sans risque" est en train de s'effondrer. Dans un environnement de marché à faible croissance et à haute volatilité, l'ancienne logique de répartition des actifs est devenue obsolète. La répartition des poids des cryptomonnaies, des métaux précieux, et même des actifs non traditionnels est en train d'augmenter discrètement. Cela change non seulement le paysage financier macroéconomique, mais redéfinit également la perception du risque de chaque participant au marché.
Des obligations américaines aux actifs numériques, des politiques des banques centrales à la répartition des actifs personnels, cette transformation n'a pas d'extérieurs.
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DegenRecoveryGroup
· Il y a 6h
La dette américaine ne peut vraiment plus tenir, c'est pourquoi les grandes institutions se tournent discrètement vers la crypto.
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GhostAddressHunter
· Il y a 6h
Le spectacle des obligations américaines devient de plus en plus fantastique, les banques centrales jouent chacune de leur côté, c'est vraiment un signal de cygne noir.
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0xSherlock
· Il y a 6h
Les actifs sans risque se sont effondrés ? C'est pourquoi je suis de plus en plus optimiste sur le chiffrement... Le système des obligations américaines devrait vraiment changer.
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GhostChainLoyalist
· Il y a 6h
Cette affaire des obligations américaines, pour le dire clairement, c'est juste que papa américain n'a plus d'argent mais doit encore faire le riche, et maintenant tout le monde dans le monde est en train de faire des critiques.
Quand la Chine réduit aussi fortement, je demande qui croit encore à ce discours "sans risque" ? Il aurait fallu se réveiller depuis longtemps.
Le coût d'opportunité est très clair, l'argent qui se dirige vers les crypto-monnaies et les métaux précieux est une grande tendance, ce point de retournement est effectivement arrivé.
La Réserve fédérale (FED) est dans une situation délicate, elle ne peut ni augmenter ni diminuer, et au final, elle va devoir admettre sa défaite.
Cette fois, le BTC pourrait vraiment se hisser, cette pile de dettes américaines devra finalement être diluée par l'inflation, ce qui signifie... ceux qui comprennent, comprennent.
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ZenChainWalker
· Il y a 6h
Cette affaire des obligations américaines devient de plus en plus absurde, la Banque centrale commence à se défausser, on a vraiment l'impression que le TradFi n'est plus sauvable.
Attendez, cela signifie que la Chine a déjà tout compris ? Pas étonnant qu'elle s'implique dans les actifs numériques.
BTC hausse hausse hausse, de toute façon je ne fais plus confiance au dollar.
#大户持仓动态 $BTC $ETH $UNI
La crise de la dette américaine, un point d'inflexion de la liquidité est en train de se former.
Récemment, en discutant avec quelques investisseurs institutionnels étrangers, la conversation revient toujours sur la même chose : la dette publique américaine. Une dette de 34 billions de dollars, ce n'est déjà plus une nouvelle, mais la chaîne logique derrière commence à se desserrer.
D'une part, la Réserve fédérale se trouve dans une situation délicate : des hausses de taux ne freinent pas la croissance, tandis que des baisses de taux amplifient le fardeau de la dette. Les promesses de resserrement d'autrefois se transforment progressivement en compromis. D'autre part, l'impulsion d'expansion du ministère des Finances ne montre aucun signe de réduction - qui va payer ? L'attitude des banques centrales mondiales commence à se diversifier.
Le Japon continue d'acheter des obligations américaines en continu, les considérant comme un actif stratégique. Mais ce qui est encore plus remarquable, c'est la réduction de la Chine - atteignant un nouveau plus bas depuis la crise financière de 2008. Pourquoi ? Trois réalités : l'inflation ronge le rendement réel des obligations américaines, le risque de gel des actifs en dollars émerge, et le coût d'opportunité est trop élevé - le même capital placé ailleurs peut offrir de meilleurs rendements ajustés au risque.
Le consensus mondial sur les "actifs sans risque" est en train de s'effondrer. Dans un environnement de marché à faible croissance et à haute volatilité, l'ancienne logique de répartition des actifs est devenue obsolète. La répartition des poids des cryptomonnaies, des métaux précieux, et même des actifs non traditionnels est en train d'augmenter discrètement. Cela change non seulement le paysage financier macroéconomique, mais redéfinit également la perception du risque de chaque participant au marché.
Des obligations américaines aux actifs numériques, des politiques des banques centrales à la répartition des actifs personnels, cette transformation n'a pas d'extérieurs.