Ces dernières semaines, je réfléchis à une question : si l'IA n'est plus seulement un interlocuteur de conversation, ne se limite plus à donner des conseils, mais commence vraiment à agir à ta place - effectuer des transferts, passer des commandes, mobiliser des ressources, interagir avec d'autres systèmes, le monde est-il vraiment prêt ?
Ce n'est pas un petit travail comme rédiger une simple copie. Je parle de choses plus fondamentales : le flux de capitaux en vrai argent, la coopération entre systèmes. Plus j'y pense, plus cela me fait froid dans le dos. Nous passons notre temps à vanter l'intelligence des modèles, la rapidité du raisonnement, mais peu de gens ont vraiment décomposé : au moment où l'IA commence vraiment à agir, sur quoi repose la sécurité de base ?
C'est justement à cause de cette question que j'ai commencé à m'intéresser au projet Kite.
Pour être honnête, c'est particulièrement "discret". Il n'y a pas de publicité écrasante et le concept n'est pas surchargé. Mais en y regardant de plus près, on se rend compte que ces gens ont un côté "anormalement honnête". Cette impression ne ressemble pas à celle de personnes qui poursuivent une tendance, mais plutôt à celle d'un groupe qui s'assoit pour examiner en profondeur les problèmes qui pourraient réellement survenir à l'avenir.
La plupart des projets d'IA parlent de capacité. Kite, en revanche, parle d'abord des limites. Cette approche touche un point sensible.
Il décompose la dimension de l'identité en trois axes : qui est la personne, qui est l'agent, et qui est responsable de cette opération. Cela peut sembler un peu technique en surface, mais en réalité, c'est particulièrement simple : vous ne pouvez pas laisser un système manipuler de l'argent sans savoir "qui fait quoi et jusqu'où cela peut aller". Une fois que cette logique est bien établie, tout devient stable : les utilisateurs se sentent en sécurité, les agents ont de l'espace pour agir, et le système ne perd pas le contrôle.
Ce qui me semble le plus profond dans la réflexion de Kite, c'est sa compréhension du processus de "paiement". J'ai toujours cru que, dans le futur, la fréquence des transactions effectuées par l'IA dépassera de loin celle des humains. Je ne parle pas de quelques transactions, mais de transactions automatisées à grande échelle et à haute fréquence. Dans ce contexte, les modèles de paiement traditionnels devront être redessinés.
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MergeConflict
· Il y a 12h
Vraiment, c'est à ce moment-là que l'IA manipule directement l'argent que le véritable test commence, n'est-ce pas ?
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FalseProfitProphet
· Il y a 13h
Vraiment, je pense toujours que c'est terrifiant que l'IA gère directement les fonds. Qui va prendre la responsabilité ?
Ces dernières semaines, je réfléchis à une question : si l'IA n'est plus seulement un interlocuteur de conversation, ne se limite plus à donner des conseils, mais commence vraiment à agir à ta place - effectuer des transferts, passer des commandes, mobiliser des ressources, interagir avec d'autres systèmes, le monde est-il vraiment prêt ?
Ce n'est pas un petit travail comme rédiger une simple copie. Je parle de choses plus fondamentales : le flux de capitaux en vrai argent, la coopération entre systèmes. Plus j'y pense, plus cela me fait froid dans le dos. Nous passons notre temps à vanter l'intelligence des modèles, la rapidité du raisonnement, mais peu de gens ont vraiment décomposé : au moment où l'IA commence vraiment à agir, sur quoi repose la sécurité de base ?
C'est justement à cause de cette question que j'ai commencé à m'intéresser au projet Kite.
Pour être honnête, c'est particulièrement "discret". Il n'y a pas de publicité écrasante et le concept n'est pas surchargé. Mais en y regardant de plus près, on se rend compte que ces gens ont un côté "anormalement honnête". Cette impression ne ressemble pas à celle de personnes qui poursuivent une tendance, mais plutôt à celle d'un groupe qui s'assoit pour examiner en profondeur les problèmes qui pourraient réellement survenir à l'avenir.
La plupart des projets d'IA parlent de capacité. Kite, en revanche, parle d'abord des limites. Cette approche touche un point sensible.
Il décompose la dimension de l'identité en trois axes : qui est la personne, qui est l'agent, et qui est responsable de cette opération. Cela peut sembler un peu technique en surface, mais en réalité, c'est particulièrement simple : vous ne pouvez pas laisser un système manipuler de l'argent sans savoir "qui fait quoi et jusqu'où cela peut aller". Une fois que cette logique est bien établie, tout devient stable : les utilisateurs se sentent en sécurité, les agents ont de l'espace pour agir, et le système ne perd pas le contrôle.
Ce qui me semble le plus profond dans la réflexion de Kite, c'est sa compréhension du processus de "paiement". J'ai toujours cru que, dans le futur, la fréquence des transactions effectuées par l'IA dépassera de loin celle des humains. Je ne parle pas de quelques transactions, mais de transactions automatisées à grande échelle et à haute fréquence. Dans ce contexte, les modèles de paiement traditionnels devront être redessinés.