La stabilité monétaire sur les marchés émergents déclenche une réaction en chaîne bien plus complexe que ce que l'on pourrait imaginer.
Récemment, des analystes expérimentés du secteur ont mis en évidence un phénomène à surveiller : l'entrée massive de stabilité monétaire perturbe le cadre de politique monétaire des pays en développement. Il ne s'agit pas seulement d'une question technologique, mais aussi de la stabilité financière profonde. Plus précisément, la croissance rapide de la stabilité monétaire (, notamment USDT, USDC, et d'autres actifs basés sur le dollar), offre aux habitants des marchés émergents une nouvelle voie pour échapper à leur monnaie locale. Lorsque la pression à la dépréciation de la monnaie locale augmente, les utilisateurs se tournent plus facilement vers la stabilité monétaire comme couverture, ce qui aggrave à son tour la pression de vente sur la monnaie locale—créant ainsi un cycle continu. Pour les banques centrales, cela signifie qu'une partie des outils traditionnels de politique monétaire devient inefficace. Vous ne pouvez pas contrôler efficacement la masse monétaire par le seul ajustement des taux d'intérêt, car le système de stabilité monétaire fonctionne de manière indépendante. C'est comme régler la température d'une pièce, mais quelqu'un ouvre la fenêtre de l'intérieur. Le problème plus profond réside dans le changement de la structure du pouvoir. Les émetteurs de stabilité monétaire (, généralement des entreprises américaines), jouent en réalité le rôle de "banque centrale de l'ombre" sur les marchés émergents, et ce processus est moins transparent et moins surveillé. À l'avenir, les banques centrales des marchés émergents devront repenser l'efficacité de leur politique financière, tout en considérant comment s'adapter à cette force financière décentralisée. C'est une guerre sans fumée pour la redistribution du pouvoir monétaire.
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La stabilité monétaire sur les marchés émergents déclenche une réaction en chaîne bien plus complexe que ce que l'on pourrait imaginer.
Récemment, des analystes expérimentés du secteur ont mis en évidence un phénomène à surveiller : l'entrée massive de stabilité monétaire perturbe le cadre de politique monétaire des pays en développement. Il ne s'agit pas seulement d'une question technologique, mais aussi de la stabilité financière profonde.
Plus précisément, la croissance rapide de la stabilité monétaire (, notamment USDT, USDC, et d'autres actifs basés sur le dollar), offre aux habitants des marchés émergents une nouvelle voie pour échapper à leur monnaie locale. Lorsque la pression à la dépréciation de la monnaie locale augmente, les utilisateurs se tournent plus facilement vers la stabilité monétaire comme couverture, ce qui aggrave à son tour la pression de vente sur la monnaie locale—créant ainsi un cycle continu.
Pour les banques centrales, cela signifie qu'une partie des outils traditionnels de politique monétaire devient inefficace. Vous ne pouvez pas contrôler efficacement la masse monétaire par le seul ajustement des taux d'intérêt, car le système de stabilité monétaire fonctionne de manière indépendante. C'est comme régler la température d'une pièce, mais quelqu'un ouvre la fenêtre de l'intérieur.
Le problème plus profond réside dans le changement de la structure du pouvoir. Les émetteurs de stabilité monétaire (, généralement des entreprises américaines), jouent en réalité le rôle de "banque centrale de l'ombre" sur les marchés émergents, et ce processus est moins transparent et moins surveillé.
À l'avenir, les banques centrales des marchés émergents devront repenser l'efficacité de leur politique financière, tout en considérant comment s'adapter à cette force financière décentralisée. C'est une guerre sans fumée pour la redistribution du pouvoir monétaire.