Vous vous souvenez de ce qu’on appelait la « supercycle asiatique inarrêtable du GNL » dont tout le monde parlait ? Ouais, pas tellement.

Les importations de GNL de la Chine ? En baisse par rapport à l’année précédente depuis douze mois consécutifs. Les acheteurs sensibles aux prix dans toute la région se retirent fortement. La seule raison pour laquelle les prix ne se sont pas complètement effondrés, c’est l’intervention de l’Europe pour soutenir le marché.

Il s’avère que l’histoire de la demande asiatique n’était pas aussi infaillible que le prétendaient les hypeurs. Quand les prix restent élevés, les acheteurs réagissent. C’est aussi simple que ça.